Iridescences
2022
Iridescence, pièce d’eau
Verre thermoformé, eau, impression UV sur plexiglas, lumière, support bois peint
50 x 37 x 97 cm
Iridescence I, II, III
Tirages pigmentaires sur papier Hahnemühle, encadrements bois d'érable, eau de mer évaporée
90 x 40 cm
Ce projet s’inspire du mythe philippin de Magwayen, la divinité de l’eau et des mers. À la mort de sa fille, elle se serait séparée de tous ses attributs de déesse marine, dont ses bijoux et sa conque qu’elle aurait enfouis sur l’île Panay afin que personne ne les trouve. Il existe aujourd’hui un lac d’eau salée, en haut d’une montagne où seraient dissimulés ses vestiges.
À partir de ce récit, la sculpture retranscrit une ouverture vers ce lac dans lequel se devine, au travers de l’eau, la surface nacrée d’un coquillage. Dans sa forme symbolique, l’eau est métamorphose, elle précède et succède toute forme en devenir. Elle agit aussi comme un miroir jouant sur les apparences. En fonction de notre point de vue autour de la sculpture, ses reflets iridescents troublent notre perception et donnent à voir une abstraction mouvante.
Les profondeurs de l’eau reflètent la mémoire en tant que flux. En remontant à la surface, le mythe ne serait alors plus qu’une réminiscence. Celle-ci devient visible mais son identification et son origine reste incertaine. La connaissance du récit suscite l’envie de percevoir les reliques de la déesse au fond du lac. À la fin de cette ascension, cette réminiscence est figée hors de l’eau. Le résultat donne lieu à un triptyque devenu tangible. L’eau du lac s’évapore et laisse apparaître son sel. En fonction de notre mouvement face à ces images, la cristallisation rappelle aussi le scintillement du soleil sur ce lac.
Iridescences
2022
Ce projet s’inspire du mythe philippin de Magwayen, la divinité de l’eau et des mers. À la mort de sa fille, elle se serait séparée de tous ses attributs de déesse marine, dont ses bijoux et sa conque qu’elle aurait enfouis sur l’île Panay afin que personne ne les trouve. Il existe aujourd’hui un lac d’eau salée, en haut d’une montagne où seraient dissimulés ses vestiges.
À partir de ce récit, la sculpture retranscrit une ouverture vers ce lac dans lequel se devine, au travers de l’eau, la surface nacrée d’un coquillage. Dans sa forme symbolique, l’eau est métamorphose, elle précède et succède toute forme en devenir. Elle agit aussi comme un miroir jouant sur les apparences. En fonction de notre point de vue autour de la sculpture, ses reflets iridescents troublent notre perception et donnent à voir une abstraction mouvante.
Les profondeurs de l’eau reflètent la mémoire en tant que flux. En remontant à la surface, le mythe ne serait alors plus qu’une réminiscence. Celle-ci devient visible mais son identification et son origine reste incertaine. La connaissance du récit suscite l’envie de percevoir les reliques de la déesse au fond du lac. À la fin de cette ascension, cette réminiscence est figée hors de l’eau. Le résultat donne lieu à un triptyque devenu tangible. L’eau du lac s’évapore et laisse apparaître son sel. En fonction de notre mouvement face à ces images, la cristallisation rappelle aussi le scintillement du soleil sur ce lac.
Iridescence, pièce d’eau
Verre thermoformé, eau, impression UV sur plexiglas, lumière, support bois peint
50 x 37 x 97 cm
Iridescence I, II, III
Tirages pigmentaires sur papier Hahnemühle, encadrements bois d'érable, eau de mer évaporée
90 x 40 cm
2023
12 artworks
2023
12 artworks
2022 - 2023
45 artworks
2022 — 2023
45 artworks
Organic matter
Air
Water
Mineral
Research
2022
6 artworks
2022
6 artworks
2022
3 artworks
2022
3 artworks
2021
3 artworks
2021
3 artworks
2021
3 artworks
2021
3 artworks
2020
21 artworks
2020
21 artworks
2019
12 artworks ∙ 1 édition ∙ 1 vinyle
2019
12 artworks ∙ 1 édition ∙ 1 vinyle
2016
1 édition ∙ 1 cassette
Organic matter
Air
Water
Mineral
Research